14 nov. 2024 - LE TEMPS EST VENU DE MIEUX CONSIDERER LE METIER DE CPIP AU SEIN DE NOTRE MINISTERE !
25 oct. 2024 - GIPA 2024 : retard inacceptable
07 oct. 2024 - COMMUNICATION DEMISSION DIRECTEUR CP MAJICAVO
30 sept. 2024 - La CFDT Pénitentiaire reçue au SNRP
30 sept. 2024 - PRISE D’OTAGE ET VIOLENCES PARTICULIEREMENT GRAVES AU CP MAJICAVO
26 sept. 2024 - VIOLENCES EN DETENTION ET EN DEHORS
19 août 2024 - 3 véhicules appartenant à 3 surveillants et 1 véhicule administratif incendiés cette nuit sur le parking du CD de Villenauxe la Grande
19 août 2024 - Signalement de situation préoccupante sur le SPIP du Gard et plus particulièrement la MA de Nîmes.
19 août 2024 - « 14 Mai 2024 DRAME D’INCARVILLE » LE RAPPORT D’INSPECTION EST SORTI
26 juil. 2024 - SORDIDE ET LÂCHE AGRESSION A AIX -LUYNES
17 janv. 2018
Ce Mardi 16 Janvier, vers 11heures, lors de la réintégration des promenades sur le secteur fermé du bâtiment A du CD de Tarascon, un détenu qui venait de sortir de la cour a demandé calmement à une surveillante présente sur le mouvement s’il pouvait lui parler.
La surveillante s’est avancée vers le détenu. Ce dernier lui a alors gratuitement asséné un très violent coup de coude au niveau de visage, entraînant la perte de connaissance de l’agent.
La surveillante a été conduite vers les urgences et doit subir des opérations faciales.
Plusieurs personnels sont également choqués par l’extrême violence de cette agression fomentée par un détenu radicalisé.
Après déplacement sur site du parquet, le détenu a été placé en garde-à-vue.
Le SNCP-CFDT apporte tout son soutien aux personnels et salue leur professionnalisme.
Le SNCP-CFDT ne peut que déplorer cette violence gratuite exacerbée dans de trop nombreux établissements par des détenus de plus en plus radicalisés.
Les personnels sont sous pression et ne peuvent continuer à exercer sereinement leurs missions dans de telles conditions.
La CFDT l’affirme : « il faut repenser l’organisation carcérale. Les personnels forts de leur professionnalisme, ne sont pas formés pour garder, surveiller et intervenir sur des détenus programmés à tuer.
Aucune solution ne sera viable si l’on pose des pansements sur une jambe de bois sans un débat de fond. Il faut décider immédiatement de mesures contraignantes contre ces personnages hostiles à la démocratie et à l’état de droit ».
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